Christine Bottin
La praticienne
Depuis toujours intimement liée au Japon et à ses traditions, j'ai étudié le japonais et travaillé sur les arts et la culture traditionnelle japonaise, et plus principalement la transmission.
Disciple de Maître Taisen Deshimaru, j'ai commencé à pratiquer zazen en 1978 et reçu l'ordination de nonne en 1980. Il nous est arrivé souvent, lors des sesshin, sessions intensives de zazen, de pratiquer des séances de shiatsu. Nous avons pu ainsi apprécier ses effets bénéfiques et ressentir le corps et l'esprit se libérer des tensions douloureuses pour laisser place à un apaisement global.
Depuis quelques années, j'ai décidé de pratiquer le Shiatsu de manière professionnelle. J'étudie et pratique le shiatsu enseigné par Kazunori Sasaki (élève et collaborateur de Shizuto Masunaga) au sein de l'école Iokaï Shiatsu Europe. Passant ainsi d'une posture assise, solitaire et immobile, à un échange dans le mouvement avec une autre personne, trouvant ainsi le dialogue que finalement j'ai toujours souhaité avoir avec les autres. Le zazen m'est indispensable et nourrit cette écoute, pour le bénéfice sans doute de tous ceux qui viendront se confier à mes mains.
Déontologie
La praticienne s'engage à respecter le code de déontologie conforme à l'esprit du shiatsu, ainsi que les lois et règlements en vigueur, tant français qu'européens.
En conséquence la praticienne s'engage à pratiquer dans le respect total de l'intégrité physique et morale de la personne et à respecter une stricte confidentialité.
Le shiatsu n'est ni une pratique médicale au sens occidental du terme, ni un massage, ni une idéologie, mais un art s'inscrivant dans le domaine de la prévention et du bien-être. Par conséquent, la praticienne se gardera d'interrompre ou de modifier un traitement médical et s'interdira de prescrire ou conseiller des médicaments.